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Les Ames Vagabondes (2013) d'Andrew Niccol avec Saoirse Ronan, Max Irons, Jake Abel...

   Le film schizophrène de l'année. Pourquoi schizophrène me direz-vous ? Parce que d'un côté "Les âmes vagabondes" est signé Andrew Niccol, l'auteur du génial "Bienvenue à Gattaca" mais, de l'autre, le film est adapté d'un bouquin de l'auteur de "Twilight". Notez que je ne précise pas le nom et le prénom de l'écrivain s'étant laissé aller à cette supercherie mais à n'en pas douter sa tête est mise à prix par les gens de goût. Le monde se divise en deux catégories les enfants : ceux qui chient sur Twilight et les autres.
   Revenons-en au film qui nous intéresse. Cet effroyable nanar est composé d'une intrigue S.F qui aurait pu ne pas être totalement dégueulasse (des extra-terrestres contrôlent les humains) sauf qu'une histoire d'amour aussi ridicule qu'inutile vient plomber l'ensemble du film. C'est la caution "Twilight". Allons plus loin : d'un côté, il y a des acteurs formidables dans "Les âmes vagabondes". A bien y réfléchir, il y n'en a, en fait, qu'un seul : William Hurt, un monument ! De l'autre, vous trouverez une brochette de gravures de mode n'ayant rien à faire devant une caméra. La caution "Twilight", bis. Le résultat est donc un film ET un produit destiné à faire mouiller les pisseuses fans de "Twilight". J'ai été vulgaire et condescendant dans cette critique. Le pire c'est que j'ai aimé ça.
 
Note : 02/20
Johan Girard
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